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Les effets du graphène présentent sans doute des dangers. C’est l’avis des toxicologues notamment. De plus, ils précisent que les procédures d’évaluation des risques aussi étudiées. Le but est de vérifier si elles s’adaptent aux nanomatériaux 2D. Quels sont donc les dangers du graphène sur l’humain ? Voici ce que révèlent les scientifiques sur le sujet.

Le graphène peut entraîner un risque d’accumulation de toxicite dans les poumons

Les particules de graphene aspirées peuvent constituer une accumulation dans les poumons si elles ne sont pas éliminées. Cela entraînerait une réaction immunitaire et une dégradation de la sante plus tard. Selon les etudes, les particules de graphene se dégradent sur des cellules vivantes sous l’action des enzymes et des peroxydases. L’effet de ces dernières se trouvent amoindri lorsque l’épaisseur du materiau augmente.

Par ailleurs, l’oxyde de graphene se dégraderait plus rapidement que le graphene pur. La dégradation du graphene est une excellente nouvelle. Toutefois, il faut que les produits issus de cette réaction soient moins toxiques.

Le graphène aurait moins d’effets négatifs que les nanotubes de carbone

Relativement aux materiaux 1D comme les nanotubes de carbone, le graphene aurait moins d’effets négatifs. Cependant, parmi les materiaux à base graphene, l’oxyde de graphène aurait davantage d’effets que le graphene pur. La raison est que selon les etudes, l’oxyde de graphene se répand plus dans l’eau. De plus, l’oxyde de graphene est génotoxique.

Examiner les tests réglementaires

On observe depuis 2020, une industrialisation des produits. Ils se posent alors la nécessité de reconsidérer les tests réglementaires. Cela permettrait de mettre sur le marché de materiau adapté aux nanomatériaux 2D. A propos des tests cutanés, les doses s’expriment en milligrammes ou en grammes. Cela est beaucoup pour un materiau comme le graphene. Comment donc être sûr que les cellules, l’algue, le poisson sont bien exposés de manière homogène à une substance indissoluble dans l’eau ?

Procédures à mettre en œuvre

L’une des solutions consiste à agiter la suspension pour empêcher la sédimentation des atomes. On peut aussi ajouter un agent dispersant. Des recherches à l’universite et dans le monde scientifique se poursuivent afin d’arriver à limiter au maximum la toxite du produit.

Le graphène est-il dans les vaccins ?

D’après les reseaux sociaux et le monde scientifique, le graphene serait dans le vaccin de pfizer contre la covid . Ceci aurait un effet néfaste sur la sante si cela est confirmé. Il convient de préciser que le graphene est constitué d’atomes de carbone réunis en un feuillet. Il fait alors un seul atome d’épaisseur. Le carbone a des proprietes physiques et des proprietes chimiques étonnantes.

 S’agissant du vaccin de pfizer contre la covid, la liste des ingrédients n’est pas connue. Toutefois, la rumeur insiste qu’il contiendrait l’oxyde de graphene

Selon les dernières nouvelles, il n’y a point de graphene dans le vaccin de pfizer et dans d’autres vaccins. Les vaccins à ARNm ne contiennent donc pas non plus de graphène. Il s’agit notamment des vaccins moderna et du vaccin de pfizer. Aucun des vaccins autorisés en Europe ne comporte ce matériau dans leurs ingrédients. Ce qui constitue un soulagement pour ceux qui se préoccupent de leur sante.

Le directeur de la sante et de l’environnement du groupe Graphene flagship a déclaré qu’il existe différents types de graphène.  Selon le rapport des laboratoires  d’universite, le plasma d’hydrogène agit sur le graphène. En effet ce type de plasma permet son nettoyage, son exfoliation et son patterning en nanorubans.

Aujourd’hui, des dispositifs à base de graphene sont développés pour des applications à hautes fréquences. La graphene permet aussi de l’energie en grande quantité. Il est un excellent conducteur de chaleur. Il permet ainsi de stocker de l’energie. Le graphene est toutefois différent du graphite. Il faut préciser que le graphite est une forme cristalline de l’élément carbone.